OVNIS et EXTRATERRESTRES

Publié le par Hervé Giacomoni

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OVNIS et EXTRATERRESTRES

 

Ces deux mots évoquent pour la plupart d’entre nous deux réactions, d’une part l’ignorance, souvent provoquée par une peur viscérale, et d’autre part l’intérêt, qui génère aussi un sentiment d’impuissance et donc de crainte face à ces apparitions. Le dénominateur commun de ces deux sentiments reste indubitablement « la peur ». Pourtant les signes ne datent pas d’hier, ni d’avant-hier, mais de plusieurs milliers d’années en arrière. Nos ancêtres nous ont laissé des écrits et des traces particulièrement intéressantes.

Il  y a 4 à 6000 ans, les civilisations s’intéressaient à leur environnement proche et à l’amélioration de leur quotidien, jamais ou très peu d’individus étaient capables de se projeter dans l’avenir et de deviner les nouveaux moyens de locomotion et de mode de vie dans les prochains millénaires. Encore aujourd’hui, nous ne sommes pas vraiment capables d’imaginer  ce que sera notre pays en 3712…Alors que dans les années soixante et soixante-dix, l’an 2000, on nous prédisait que ce serait l’ère des voitures volantes, des voyages spatiaux, et de l’évolution spirituelle, sans compter cette étonnante volonté de croire qu’à cette date nous serions en contact avec les extra-terrestres. Mais c’est sans parler de cette frustration maladive de notre civilisation qui déclenche les pires maux et catastrophes lorsqu’elle est face à l’incompréhensible, destruction de preuves, d’indices, mutisme. Seuls des petits groupes de scientifiques, d’organisations écologiques, ésotériques et spirituelles abondent sur le fait que nous avons dépassé le seuil de prise de conscience de notre existence pour nous diriger vers celle de la compréhension de notre environnement cosmique. Cette prise de conscience récente nous fait comprendre que notre planète n’est pas immortelle et que nous sommes l’élément déclencheur d’un cataclysme annoncé. C’est quasiment acquis pour la grande majorité d’entre nous. Et le contact me direz-vous ? Il a été établi, depuis fort longtemps et il l’est toujours, Fire the Grid en est un exemple, mais nous y reviendrons plus tard.

Le contact a été effectivement établi, et nous (c’est à dire tous ceux qui s’intéressent et qui se donnent du temps de réflexion) ne sommes plus les seuls à l’affirmer, les scientifiques, astrologues, biologistes, chimistes, géologistes, et autres paléontologues ont établi un nouveau champ pluridisciplinaire : l’EXOBIOLOGIE.

Les météorites sont les « ensemenceuses » de l’univers, porteuses de vie, elles abritent en elles les fondements de la création en disséminant les acides aminés et autres bactéries, de la matière organique par définition, qui résistent à des impacts qui dépassent l’entendement et des températures élevées (plusieurs centaines de degrés). La vie existe bien dans l’univers, et à présent ces scientifiques s’accordent à le revendiquer haut et fort. Nos ancêtres n’avaient pas notre technologie actuelle, mais ils savaient retranscrire ce qu’ils voyaient.

Au Mexique, dans la région de San Pédro, « Une Vallée Merveilleuse » qui s’étend jusqu’à Las Colonias. Dans cette région, on parle de miracle (Milagros), écrit Robert Charroux, et en direction du sud-ouest, on trouve une multitude de rochers recouverts de tracés, de figures et de formes géométriques. Détail extraordinaire, le corps des êtres humains est gravé dans la pierre, mais toutes les têtes sont peintes ; elles n’ont ni yeux, ni nez, ni bouche et sont de forme ovoïde ou sphérique avec une sorte de hublot dans la partie centrale. Il n’y a qu’une raison à ce phénomène, il s’agit de scaphandriers ou de cosmonautes, ce qui, en outre, expliquerait pourquoi plusieurs de ces personnages semblent flotter ou être en état d’apesanteur, avec les mains tournées vers le haut. Dit l’archéologue Carlos Villanueva. Tout comme les pierres d’ICA qui auraient été gravées il y a plus de 10.000 ans, voire 50.000 ans. À cette époque nos ancêtres avaient-ils cette extraordinaire faculté d’imaginer de telles choses ? Non. Ou alors Léonard de Vinci serait un formidable plagieur. Allons plus loin, car cet exemple n’est pas le seul.
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En 1938 l'archéologue Chi Pu Tei découvre une série de tombeaux creusés et alignés dans des cavernes artificielles des montagnes de Baian Kara Ula près de la frontière sino-tibétaine.
Entre des décorations montrant de petits êtres coiffés de casques, des étoiles, des planètes et des lignes qui les joignent, il trouva de petits squelettes aux larges crânes.
Il ne pouvait pas s'agir de squelettes d'une espèce inconnue de singe, puisque les singes n'enterrent pas leurs morts.
On mit aussi à jour des objets de pierre contenant des traces de métaux incongrus, parfaitement circulaires et ornés de symboles stellaires et d'une minuscule écriture en spirale, on dénombra plus de 700 de ces "disques".
En 1962 un linguiste chinois, le docteur Tsum Um Nui, réussit à traduire le texte de l'un des 700 disques entreposés à l'Académie de Pékin. Cette traduction, au lieu de soulever quelques interrogations, fut largement ignorée car l'histoire qu'elle racontait était "inacceptable".
En effet, elle racontait qu'il y a 12 000 ans un groupe d'êtres se sont écrasés sur terre et qu'ils n'ont pas été capables de réparer leur vaisseau.
Le groupe fut d'abord traqué, à cause de son apparence inhabituelle, mais finit à force de gestes pacifiques à se faire accepter et à s'installer en paix.

En 1965, plusieurs centaines d'autres disques gravés ont été trouvés dans les mêmes cavernes.

Les légendes de la région parlent des petits hommes jaunes venant des nuages, avec des grosses têtes et des corps très minces, si horribles qu'ils étaient pourchassés et tués.
Sur les parois des cavernes, il y a des dessins précis du soleil, de la Lune, de la Terre et de plusieurs étoiles identifiables dont Sirius, avec des lignes en pointillés qui les joignent entre elles. Ces dessins ont été datés. Ils remontent à - 12 000 ans avant Jésus-Christ.
De nos jours, la zone des cavernes est toujours habitée par deux tribus semi-troglodytes les Han et les Dropa ou Dzopa. Les individus de ces deux tribus ont un physique très étrange. Des corps frêles, une taille dépassant à peine le mètre pour les adultes, des têtes disproportionnées et de grands yeux bleus. Ils ne sont ni typiquement chinois ni tibétains.
En Russie, il a été fait plusieurs expériences avec les disques qui avaient été trouvés Indépendamment du fait qu'ils contiennent de grandes quantités de cobalt et d'autres substances métalliques, placés sur une table tournante, ils émettaient un bourdonnement bas comme s'ils avaient une activité électrique.
Les rares scientifiques qui ont eu le courage de s'intéresser aux Dropas se sont vu opposer une fin de non recevoir par les autorités chinoises.

Des vaisseaux spatiaux s’écrasant sur notre planète laissent toujours des traces bien évidemment, des traces physiques, puis génétiques. On parle alors de Roswell, le cas le plus récent et le plus médiatisé, supercherie ou réalité ? Les avis sont partagés, quoi de plus invraisemblable que de vulgariser un tel événement et de le rendre ridicule ? Peut-être pour dissimuler la vérité vraie, mais sous une autre forme. N’oublions pas que l’affaire Roswell entra en scène au début de la guerre froide en 1947, peut-être dans le but d’intimider l’ex Urss…Pensez donc, détenir une technologie avancée, ça fait réfléchir non ?

L’une des premières observations officiellement retranscrite, remonte à la date du 24 juin 1947 ( solstice d’été ? À vérifier), lorsqu’un avion de tourisme, un Call-Air A-2, dans l’Ohio, à la recherche de l’épave d’un C-46 de l’armée qui s’est écrasé dans le secteur. Il croise alors une formation d’engins étranges croisant ( d’après la vitesse calculée) à près de 2 700 km/h. Le terme de soucoupes volantes fit alors son apparition.

Un document du FBI rapporte que les principaux centres de recherche atomique américains ont été survolés dès la fin de l’année 1948 par des manifestations aériennes inconnues. Cette étude recense 209 témoignages de militaires. Rédige par le Dr Lincoln Lapaz, spécialiste des météorites, elle était destinée aux directeurs des installations militaires et aux responsables du contre espionnage. Au total, 74,4% des incidents retenus intéressent des zones liées à l’atome militaire. D’autres documents mentionnent la base d’Oak Ridge, Tennessee. Cet établissement, qui produisait l’essentiel de l’uranium et du plutonium utilisés dans les bombes atomiques, eut droit aux mêmes visites.

Visités, et observés sur notre comportement lié à l’usage atomique, qui au début de son utilisation n’était pas particulièrement à but « pacifique ».

Tout en restant dans le domaine de l’observation extra-dirigée, j’étais mis à l’index lorsque j’évoquais l’excellent passage de Robert Charroux sur la Lune dans mon article « Hier, l’apocalypse » et de rester sur mes positions.  En 1960, l’américain Bracewell imagine que des civilisations très avancées de la Galaxie ont pu installer des sondes dans notre système solaire, en attente d’une communication avec les Terriens. Sept ans plus tard, le Russe Shklovskii est intrigué par le mouvement séculaire accéléré inexpliqué des satellites martiens Phobos et Deimos. Il trouve que l’accélération mesurée, démontrée surtout pour Phobos est compatible avec une densité extrêmement faible : sont-ils creux ? Impensable pour des satellites naturels ! Il suggère alors que ce sont des artefacts, des constructions utilisées par des extraterrestres explorant la Galaxie et observant le Système solaire, ou le témoignage d’une civilisation martienne très avancée, dans une phase d’expansion dans l’espace.

En 1973, Ball postule « l’hypothèse du zoo » : les extraterrestres nous observeraient en silence. Cette théorie, opposée à celle de la « solitude cosmique », implique la présence, dans notre système solaire, de systèmes extraterrestre de veille. Vers 1985, Freitas en cherche vainement aux points de Lagrange du système Terre-Lune, points dont la principale caractéristique est qu’un objet qui s’y trouve garde une position stable. On en revient à l’étrange comportement de notre satellite, et du reste, un programme d’habitation est prévu pour 2024. Peut-être en saurons-nous plus sur la face cachée de la Lune et des mystères qui l’entourent.

Zoo dites-vous ? Si vous étiez dans une jungle sauvage et que vous tombiez nez à nez avec un indigène qui vous semble gentil et qui de plus communique avec vous, vous le suiveriez, mais rien ne dit que ses congénères oublieront l’anthropophagie instantanément. Nos chers extraterrestres estiment (et à juste raison) que nous ne sommes pas prêts, mais sauf pour certains qui eux ont cette chance. Et Dieu dans tout ça ? Des milliards de croyants sur notre planète qui ne cherchent pas à améliorer leurs comportements, afin d’abolir la haine, la jalousie, l’égoïsme et tous ces maux qui ne montrent qu’une seule chose ? La peur, oui encore elle. Cette peur qui habilement utilisée par nos religions, pour avoir créé des mondes de châtiment, « si tu ne fais pas ce que je te dis de faire, alors les flammes de l’enfer te brûleront pour l’éternité ». Vous croyez en Dieu ? Qui a créé le monde, nous, eux, puis les autres ? Alors vous croyez aux extraterrestres après tout, et ils apparaissent même sur certains vitraux de nos cathédrales. S'ils étaient béliqueux, cela ferait longtemps que nous ne serions plus là pour le dire.

« La meilleure preuve qu’il existe des êtres intelligents dans l’univers, c’est le fait qu’aucun n’a tenté d’entrer en contact avec nous». Bill Waterson

Et si ce n’était pas vrai.

PROCHAINEMENT UN DOSSIER COMPLET SUR LES OVNIS

« Les preuves scientifiques »

 

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